lundi 15 avril 2013

Dégustation entre deux bas nylon 3/6

John avança encore sa tête, relevant le nez sur son mont de Vénus lisse, s’enivrant de son parfum intime, aucun autre ne lui ressemblait, la signature intime de chaque femme dégustée. Une palette plus large que celle du vin, des arômes différentes suivantes les heures de la journée. La nuit exaltait cette douceur verticale face à lui, deux lèvres luisantes dans cette pénombre. 

Elle avait retiré sa main, comme une dernière barrière sur son intimité, ou pour lui indiquer le chemin



Sa tête penchée entre les deux cuisses, il s'appliqua à lécher les grandes lèvres, la peau des cuisses alentours,  à caresser au passage les revers des bas noirs de cette belle, les yeux sous la bandeau, emportée dans de petits gémissements quand il suçota les petites lèvres. Délicieusement, comme un gourmet qui lèche plusieurs fois sa cuillère après avoir déguster une pâtisserie sublime. Un léger parfum de musc et de vanille, du moins un ressenti sucré, il prit son bouton en succion, en délicatesse infinie, toujours entre ses lèvres, sa bouche, son bout de langue durci pour mieux frotter cet ergot érectile.





A chaque coup de langue, elle frissonnait, elle se livrait à lui, à cet homme qui ne l'avait pas prise à la hussarde, mais qui lui offrait une dégustation langoureuse. John insistait, changeait l'intensité, la fréquence, la douceur ou la fermeté en ajoutant ses doigts inquisiteurs sous ses fesses. Il massait, il titillait, il malaxait aussi avec vigueur, puis il respirait aussi dans cet exercice d'apnée sensuelle. Un délice qu'il prolongea sans compter, les minutes se suivaient, elle se plaisait à reprendre son souffle, à se relâcher totalement.


Les cuisses ouvertes, les talons en l'air, les dentelles noires sur ses seins qu'il venait parfois caresser. Son soutien-gorge amplifiait la sensation, quand il posait ses doigts sur le fin voile ajouré, sur ses rondeurs de pure féminité. 




Naturellement, elle sombra encore dans des jouissances intérieures, relâchant parfois des cris, des sons de plaisirs. Il la tourna, la guidant dans les trois dimensions qu'elle ne voyait pas, elle se retrouva sur le bord du lit, sur le dos, la tête en dehors. Son bandeau de soie tenait encore ses cheveux blonds, sa bouche rouge attendait.



John se leva, retirant en silence quelques vêtements, servant le champagne. Il versa dans cette bouche, un liquide pétillant, des bulles pour cette pause, elle bût d'envie et pour se désaltérer de ces précédentes minutes. John s'avança au-dessus d'elle, tranquillement il dirigea son sexe entre les lèvres rouges, doucement il fit comprendre sa présence. Il força la bouche, poussa son gland, encore un peu plus, et là il coulissa encore en elle.






... à suivre ....

JOHNSTEED

3 commentaires:

Lilly a dit…

Vous êtes insatiable!!!!!

JohnSteed a dit…

@Lilly : Les héros de roman sont insatiables, sans aucune fatigue ! seulement eux !

François a dit…

Que de frissons, que d'abandons... quelle merveille de lecture !
Baisers linguaux,
François.